ATELIER : Maquillage avec Véro Pfluger


ATELIER : Maquillage avec Véro Pfluger

 
Une maquilleuse professionnelle est venue initier des élèves qui le souhaitaient à l'art de la transformation.

CONSTRUCTION : Ciné - Baraque

Construction du Ciné - Baraque de la Cie L'éPATE en L'AiR pour la Fête Foraine
par les classes de 3ème CEGPA du Collége de Guinette.

CONFERENCE : Petit Théâtre - Etampes

L'art forain dans ses manègeries contemporaines.
Conférence courte de Katherine Tewe projection, exposition et discussion
Lundi 6 mars 2017 - 14h00
Petit Théâtre - Etampes

MONSTRO - TRUC

COLLECTE d'OBJETS "MONSTRUEUX"

1) Trouver un objet qui est, ou deviendra de par sa forme, son histoire ou sa transformation … monstrueux.

2) Ecrire sa fiche descriptive.

3) Le confier au bon soin du CDI, accompagné de son nom, (ex : Coquillage de Marcelline, Corde de Marcel ...) et de sa description, (historique, affective, magique, biologique ...)

4) Le produit de la collecte donnera naissance à un Cabinet de Curiosités qui, dans un tumulte d’objets, livrera aux visiteurs de notre Fête Foraine, la gauche transcription de bizarreries. La seule volonté de rassembler aura finalement réussi à opposer au temps une réalité dont le dérisoire sera à la mesure de la persistance.

PRESSE : L'horreur est humaine.

« Le vieux monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître et dans ce clair-obscur, surgissent les monstres » : le théoricien communiste italien Antonio Gramsi écrivait cela entre deux guerres mondiales, au XX siècle. Gérard Larguier nous a adressé cette citation la semaine dernière, depuis le presbytère meusien où il a élu domicile. Comme nous, ce peintre estime que nous vivons toujours, ici et maintenant, dans l'entre-deux. Ils s'incrustent les monstres, ils s'enracinent, les bougres ! Pour preuve: les pages d'Artension en débordent.
Et si 'on se rassure en pensant que le monstre c'est toujours l'autre... Que dire de cette beauté qui devient angoisse lorsque, dans la salle de bains, l'on voit l'ennemi dans la glace

Affreux ? Pas si sûr: plastiquement « le beau est toujours bizarre» (C. Baudelaire). La beauté « convulsive » (A. Breton) nous enthousiasme. Et les « oubliés de Dieu » (M. Monestier) nous touchent. Minotaures ou sirènes, les figures mythiques fondatrices de toutes les civilisations en attestent: avoir recours aux monstres enrichit infiniment nos existences.

Entrez donc ici, gens et œuvres étranges, avec vos terribles cortèges de novembre, vos masques et vos crécelles. Ouh! Ouh amis Halloweeniens En attendant les lutins du Père Noël et les géants du carnaval, dansons avec les monstres qui affichent leurs couleurs. Combattons la perversion des esprits en célébrant la subversion des formes.

Patrick Le Fur et Françoise Monnin


PHOTO : Les monstres arrivent



MONTAGE YOURTE : 2ème période : 5 janvier 2017

DEMONTAGE YOURTE : 1ère période : 2 décembre 2016

QU'EST CE QUE L'ART BRUT ?



Les œuvres d’Art Brut sont réalisées par des créateurs autodidactes, des marginaux retranchés dans une position d’esprit rebelle ou imperméables aux normes et valeurs collectives, qui créent sans se préoccuper ni de la critique du public ni du regard d’autrui. Sans besoin de reconnaissance ni d’approbation, ils conçoivent un univers à leur propre usage. Leurs travaux, réalisés à l’aide de moyens et de matériaux généralement inédits, sont indemnes d’influences issues de la tradition artistique et mettent en application des modes de figuration singuliers.
C’est au peintre français Jean Dubuffet que l’on doit le concept d’Art Brut. Il constitue dès 1945 une collection d’objets créés par des pensionnaires d’hôpitaux psychiatriques, des détenus, des originaux, des solitaires ou des réprouvés. Il perçoit dans cette création marginale une « opération artistique toute pure, brute, réinventée dans l’entier de toutes ses phases par son auteur, à partir seulement de ses propres impulsions ». La notion d’Art Brut repose ainsi sur des caractéristiques sociales et des particularités esthétiques.

CONFERENCE : Lycée GSH, 1 décembre 2016


Conférence à 4 mains avec le pédopsychiatre Pierre Canouï, Freaks, la naissance du monstre au lycée G. St-Hilaire d'Etampes.

ATELIER : Le ridicule ne tue pas.


En conscientisant nos qualités, nos défauts, nos complexes et nos aversions, en allant vers une acceptation de nous même, nous nous mettons en chemin pour redécouvrir le monde.
Au travers d’exercices corporels simples, nous sollicitons l’engagement de chacun avec bienveillance dans le but de stimuler nos potentiels ignorés. Notre corps sera au centre de nos préoccupations, à l’écoute de nos sensations, nous retrouverons la confiance pour s’exprimer plus librement, accepter l’autre comme une ressource. C’est en forgeant que l’on devient forgeron, c’est en marchant que nous trouverons de nouveaux chemins, présents et acteurs de notre vie.

LIVRE : Secret de clown, Paul-André Sagel



Monstres. Quasimodo, Eléphant man et les créatures difformes de Freaks, film de Tod Browning (1932) dont l'histoire se passe dans un cirque, faisaient-ils partie de l'univers des clowns? Ces masques du passé renvoient à la bestialité gé­nétique. Ces éclopés, nés d'accouplements invraisemblables entre l'homme et l'animal ou victimes d'une maladie monstrueuse, n'occupaient pas la même place que le clown. Dans la la fête foraine qui jouxte le cirque, un stand leur était consa­cré afin que le public voyeur dévisageât ces êtres étranges. us n'étaient pas en piste pour jouer un rôle. us étaient le rôle et la dramaturgie à eux tout seuls. us faisaient le spectacle sans simulacre. Nul besoin d'exploit, de texte et de gag. C'est ce qui les rendait à la fois effrayants et touchants. À leur vue, on reculait puis on les scrutait pour tenter de comprendre. Leurs masques marquaient la fron­tière visible entre la nature conquise et la nature sauvage. Les clowns surprennent. Les monstres réveillent toutes les vieilles peurs dont sont porteurs loups-garous et autres vampires. Ils fascinent et tétanisent à la fois. us présentent en plein jour les Aliens que dissimulent les nuits de l'humanité. Au XVéme siècle La nef des fous de Brant ou de Bosch dépeignent les dérives coupables des hommes.

BEAU ART MAGAZINE, nov 2016, Les montres fascinent plus que jamais.



La Fiac, comme toute exposition d'art contemporain qui se respecte, ouvre volontiers ses stands aux espèces à moitié humaines. Il ne faudra donc pas s'étonner, au détour d'une allée, de croiser une cohorte de géants, de gnomes, d'elfes, de vampires et de sylphides. Nourris de récits mythologiques on de spéculations sur le transhumanisme, les artistes engendrent des créatures hybrides, mettant ainsi en crise le modèle normé de l'identité. Représentée par Natalie Seroussi, Hannah Höch concevait déjà dans ses collages d'avant-guerre des silhouettes ambivalentes, à tête de statues primitives mais juchées sur talons hauts. Aujourd'hui, c'est Vidya Gastaldon qui fait apparaître, dans de vieilles toiles récupérées dans des brocantes, des figures bonhommes de fantômes. On serait prêt à parier notre santé mentale que ceux-lå sont de mèche avec les visages métalliques et chiffonnés de Matthew Monahan (galerie Anton Kern). Si ce n’est avec eux, alors c'est avec les crânes en résine colorée et bourrée de mégots, réalisés par Alina Szapocznikow, qu'ils entretiennent des liens secrets (galerie Loevenbruck). Ou bien avec cette tête coupée, dents saillantes et crispées qu'Aneta Grzeszykowska forme dans une simple boule de coton peinte (galerie Raster). Quoi qu'il en soit, l'armée des ombres ne manque pas de renforts. Un des héros de ce néogothisme, Damien Hirst, est présent dans cette foire aux atrocités, se livrant chez White Cube à «l'anatomie d'un ange». Soit la statue d’un ange gracieux mais ouvert de part en part, de manière à ce que sa chair et ses organes soient visibles. On croyait ces créatures célestes faites d'une autre étoffe, mais non. Ayant perdu tout espoir de salut, on se livrera corps et âme à ces bras vermoulus et ridés, sculptés dans l'argile par Judith Hopfet qui sortent du mur du stand de la galerie Kaufmann Repetto pour, dirait-on, chercher à agripper le chaland.

La yourte arrive, montage vendredi 4 novembre

VISUEL 16 / 17


Magazine créé avec Madmagz.

LES STMG ont slamé

Ils nous ont validés
Ils nous ont validés

Nos coeur battent trop vite on va se cracher
Il faut réduire la vitesse
On vous aime et c'est du présent
On va s'consoler chez Mme gloria
On a peut-être des défauts
On a merdé on l'avoue
Tous ensemble on a taffé
ya qu'a vous qu'on dit I love you X2
I love you X6

Première fois qu'on s'est vu
On s'en souvient
On s'est dit que vous aller nous crier dessus
Mais enfaite ? Rien
Ta souplesse nous a laisser sans voix
2 jours plus tard on c'est dit qu'on avait pas de style
Vos prénom résonne dans la yourte
Nous tous c'est pas fini on va faire du sal
Puis enfaite on n'est choquee
Par votre magnifique talent
Vous nous avez juste bluffer
Sachez que vous nous avez tant apporte
Nos coeur battent trop battent trop vite on va se cracher
Il faut réduire la vitesse
On vous aime et c'est du présent
On va s'consoler chez toto et véro
On a peut être des défaults
On a merdé on l'avoue
Tous ensemble on a taffer
Ya qu'à vous qu'on dit I love you
On vous a validé
Vous nous avez validé
Vous nous avez tous donner
Justement on voulait vous remercier
On voulait une deuxième chance
Et vous nous avez un petit peu accorder
Pour toute confidence
Sachez qu'on vous a bien kiffer
Eh bien vous nous avez fait découvrir une nouveauté

Un mouvement vers la création.

            Mettre des élèves en mouvement vers la création, voilà l'ambition du projet d'intervention artistique « Chacun Cherche Sa Yourte » au sein du lycée Geoffroy Saint Hilaire.
Véronique Stekelorom et Antoine Dubroux ont mené le projet en binôme. Ils ont en commun le partage de valeurs circassiennes.  Le Cirque à 360° où chacun voit l'autre et se donne à voir. Le Cirque école de la persévérance dont très souvent, le beau naît du mal, le mal que l'on se fait à l’entraînement, le mal de la chute qui fait rire, le mâle mis à mal par son partenaire.
En partant de ce que chacun est, en donnant à voir l'intime, nous avons fait émerger des thèmes génériques qui seront ensuite exposés dans des séquences spectaculaires : La conférence spectacle. Il ne s'agissait pas de dispenser un savoir, mais de stimuler des compétences émergentes, en sollicitant un engagement des élèves dans la confiance. LES PRÉJUGES, LES SUPER POUVOIRS, LA MANIPULATION, LA CHUTE, LES CHEVEUX, L'ENFERMEMENT, L’ILLUSION, LA MANIPULATION, sont les thèmes qui nous ont permis d'imaginer des formes variées autour de l'expression de connaissances réelles ou fictives, mais avec toujours l'intention de susciter l'émotion du spectateur. La palette des outils mis en œuvre était infinie et tous les acteurs sensibles à l'aventure sont devenus ressources. Les adolescents se sont trouvés face à leur désirs ou au désir d'en avoir. Chaque étape donnait lieu à la conquête de nouvelles ambitions.
Les proposition sont variées, insolites, parfois inattendues. Certaines font rire à dessein ou malgré elles. Quelques-unes n'ont pas quitté l’état de la négation et attendent l’engagement de leurs auteurs encore fébriles, au bord du gouffre de l’inconnue, paralysés par la peur des regards. D'autres n'ont plus qu'à être partagées  avec générosité, si les acteurs s'en donnent le courage, en faisant appel à la bienveillance des spectateurs. Ce sera indéniablement pour notre plus grand plaisir.
Nous avions 7 absents aujourd'hui, qui vraisemblablement auraient volontairement déserté la yourte.
Sans eux, il nous était quasi impossible de travailler sur le spectacle, alors même qu'ils ont des propositions artistiques vraiment intéressantes et moteurs pour le reste du groupe.
Nous ressentons une grande crispation à l'approche de la semaine artistique et de l'échéance de "présentation" devant d'autres lycéens.
Ce qui est  dommage c'est que la séance de la semaine dernière était vraiment constructive et avait permis de bien poser les bases de leur conférence, il n'y avait à priori qu'à continuer sur ce bel élan...
Cela pose la question de la pertinence d'une production finale pour l'ensemble des classes ... peut-être que certains ne sont vraiment pas prêts à assumer cela, se sentant trop "fragiles"?

«Les Tartares ont petite maison » et les élèves, grande émotion

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Éclats de rires, yeux écarquillés, commentaires enthousiastes, les élèves de la 1ère L 1 et de la 1 STMG1 ont assisté vendredi 15 janvier dernier au spectacle de la compagnie l’éPATE   en l’air dans la yourte en résidence artistique au lycée Geoffroy Saint-Hilaire.
Sur la scène, les Mongols Fiers, deux clowns, embarquent leur auditoire dans un spectacle de cirque loufoque « Les Tartares ont petite maison ». Entre pirouettes acrobatiques, histoires … à dormir debout… danses saugrenues, la poésie et la magie opèrent et les spectateurs s’évadent en partance vers une Mongolie plus ou moins imaginaire.
Outre le plaisir, les élèves qui sont inscrits dans le projet « chacun cherche sa yourte », ont assisté à une leçon de clownerie moderne et de mise en scène qui démontre bien que rien n’est dû au hasard dans un spectacle. Nul doute, qu’ils pourront réinvestir cette expérience dans la mise en œuvre de leur propre travail artistique, travail encadré par les artistes de la compagnie L’éPATE en l’air.

Cours de russe

FESTIVAL, "La Folle Epopée des clowns chez Jules Vernes" du 10 au 14 mars, Amiens

Le clown a une histoire qui résonne sur la piste du Cirque Jules Verne au moins autant que celle du cirque équestre. Nous vous proposons pendant quelques jours de plonger dans un univers loufoque et décalé où les clowns auront toujours le dernier mot. Ils feront du cirque leur maison et de la ville leur terrain de jeu. Succédant sur la piste à une riche histoire impliquant Annie Fratellini, James Thiérrée et Federico Fellini, les clowns acceptent le défi d’inscrire leur nom dans l’histoire.

Pôle National des Arts du Cirque, Amiens

FESTIVAL, Villette en Cirque - du 15 au 17 avril, Paris

Nouveau temps fort de la programmation, Villette en Cirques propose pendant trois mois des spectacles pour toute la famille ! Du Cnac au Nouveau Cirque du Vietnam en passant par la magie de Kurt Demey, il y en a pour tous les goûts et tous les âges.

Villette en Cirque - La Villette